Community Management

Recherche Community Manager en CDI de toute urgence


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Offre d´emploi

L’annonce

Vous êtes dynamique, passionné, curieux et à l’affût de l’actualité social media qu’il fait le buzz et la une du net.
Vous justifiez d’une expérience d’au moins 1 an dans le community management… on vous en demande pas plus pour nous rejoindre. Nous sommes une agence jeune et solide, avec un portefeuille grands comptes. On cherche aussi la créativité et le goût du challenge chez notre futur community manager.

Salaire proposé : 2800€ brut sur 13 mois + primes + avantages

Contact : CV + candidature à : emploi (at) labelleagencecm.com

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Voilà le genre d’annonce sur laquelle on aimerait bien s’arrêter non ? Et puis imaginons qu’elle existe réellement, des centaines de postulants pour le job serait à prévoir. Le chemin à se frayer devrait être quelque chose de palpitant à vivre, une sacré compétition.

Trêve de plaisanterie, une telle annonce, ça n’existe pas sur le marché du travail ! Vous devrez vous battre et encore vous battre, persévérez jusqu’à décrocher un job… et pas celui rêvé en prime. Le salaire ? Il couvrira tout juste vos frais, et fera de vous un survivant au cœur de Paris. Mais qu’à cela ne tienne, vous aurez décroché un job comme il s’en fait rare de nos jours.

L’usure du mode recherche est certes éreintante, et pour peu qu’une semaine bien remplie de rendez-vous vous donne la banane, la semaine qui suivra laissera quelques nuages noirs assombrir votre enthousiasme. Pas un appel ! 2 ou 3 mails de refus, et une vaine tentative de vous proposer un stage plutôt qu’un CDI.

Le moral est toujours là ? Vous avez raison parce qu’il en faut en cette période de crise malgré des métiers émergents qui laissaient sous-entendre de l’embauche à la clé. Ah bon ! Où ça ?

Oui parce que ça ne semble pas trop arrivé à l’horizon de 2014… année déjà bien entamée. On nous parlait de plus de 240.000 cadres à embaucher sur l’année, vous en connaissez un dans votre entourage qui a été sélectionné pour un poste dans le secteur du digital ? Oui peut être ! Voire certainement j’espère, mais moi voyez-vous pas vraiment. Je vois des gens en constante recherche plus que de gens embauchés. Quant à dire qu’ils se reposent, pas le moins du monde !

Le temps passe

Le pire dans tout ça, c’est que vous les retrouvez quelques mois plus tard dans la même situation, et prêt de tenter une aventure en mode auto-entrepreneur.

Alors où sont passés les postes de community manager en CDI ?

On les cherche encore ! C’est plutôt le community manager en mode freelance qui se retrouve face à nous, car oui il en faut bien des entrepreneurs, et des autos en plus ! Ceux qui n’auront pas un sou au bout de la route, car si elle est déjà un peu bosselée au point de départ… imaginez au bout d’1 ou 2 ans. Le plafond n’explose toujours pas, et papa maman aimeraient bien vous voir voler de vos propres ailes. Oui vous savez les jeunes sortis d’école ! Eux ils n’ont pas un 3 pièces au cœur de Paris.. ils ne sont pas nés non plus avec une cuillère en or dans la bouche. Vous les trouverez chez papa maman, avec de quoi se payer un mojito de temps en temps avec les amis. Si par chance ils parviennent à dépasser le plafond, on pourra dire qu’ils auront bravé le plus dur et on leur témoignera sans nul doute une certaine reconnaissance. C’est d’ailleurs gratifiant à ce stade. Il en reste que notre souhait à tous, est bien de voir chacun décrocher un job et d’avoir à manger dans l’assiette à la fin du mois.

Et puis ceux qui habitent Paris, même si c’est la classe ! Un « une » pièce moyen dans un immeuble sans ascenseur avec des escaliers qui grincent en prime… mais c’est Paris ! Allez comprendre ! On a tout ce qu’il faut sous la main, pas besoin de véhicule et le job se trouve à quelques stations de métro. Et ça je le comprends pour y avoir habité quelques années.

Alors ! où en est le community manager ?

Coincé quelque part entre sa passion et le désir de l’assouvir, car c’est bien ainsi que l’on constate sa position actuelle dans une majeure partie des cas. Il en reste des heureux parmi ces community managers, tout de mêmes ! des profils qui ne se laissent pas démonter et qui tentent effectivement de percer dans l’entrepreunariat. Car à défaut d’un patron qui daigne porter ses regards sur les postulants, il y a un petit monde qui bouge et qui font bien avancer les choses.

Alors oui ! Je dresse une petite caricature à peine exagérée mais oh combien reflétant la rélaité d’un malaise, et en même temps d’un bon vouloir des profils actifs en mode recherche. C’est pas facile, et s’il faut en plus travailler à son salut sur le net et ne pas manquer la prochaine conférence pour être à la page, ça demande un moral d’acier à mesure que s’approche la fin des droits. Oui la fin de cette substantielle somme d’argent versée par Pole emploi, si vous avez eu la chance d’avoir un précédent poste j’entends… bah elle a une fin, et elle n’est jamais encourageante.

Pour finir je dirais « courage » car à force de persévérance on peut y parvenir, même si cela ne semble pas facile, il y a de la place. Répondre aux annonces par ci par là, poster des candidatures spontanées, prendre son téléphone et ses jambes pour prospecter… il y a matière à s’activer, et si le tempérament est absent, penser à la passion qui vous anime… elle existe ! car elle est aussi une énergie transmissible.

En conclusion… ma contribution

Pour aider ne serait-ce qu’un ou deux profils par mois :

je m’engage à écrire un billet sur votre profil avec un lien vers votre CV, vos réalisations, votre blog…

Rédigez votre plus belle candidature ou l’interview qui vous placera en bonne position. C’est à vous de jouer, et nous verrons si l’idée peut apporter un plus pour vous rendre visible. Utilisez le formulaire contact ici si l’idée vous tente : Contact

   

Laurent Bour

Fondateur du Journal du Community Manager et vrai Geek ! je suis passionné par l'univers social media et particulièrement par les nouveaux leviers marketing. J'arpente Internet et les médias sociaux depuis leurs débuts. J'ai assuré mes débuts en informatique sur un Oric Atmos, et j'ai été un vrai fan de l'Amiga. Expert ! Je ne le suis pas. Je continue d'apprendre.

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