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Comment rédiger un article qui respecte les critères EEAT de google ?

Découvrez comment rédiger un contenu qui respecte parfaitement les critères EEAT de google. Suivez le guide :

SOMMAIRE

Les quatre critères EEAT de Google redéfinissent la manière dont les contenus devraient être rédigés pour les utilisateurs. En 2025, c’est devenu l’un des leviers indispensables à exploiter en SEO, pour prétendre à un bon référencement de ses articles dans les moteurs de recherche, notamment Google.

 

Que sont les critères E.E.A.T de Google ? 

L’EEAT est un acronyme signifiant Experience, Expertise, Authoritativeness et Trustworthiness en anglais. En français ça se traduit par Expérience, Expertise, Autorité et Fiabilité. Ce sont des piliers qui doivent être placés au coeur de tout contenu produit en SEO afin d’obtenir un meilleur référencement et de mieux répondre aux attentes de l’utilisateur.

Cependant ces leviers doivent aussi et surtout démontrer le niveau d’expertise de l’auteur, son autorité et la fiabilité des informations qu’il délivre. Pour réunir ces différents critères, il est recommandé de partager des contenu variés et de recourir à une multitude de canaux qui mettent en avant l’expertise de l’auteur.

Les partages sur les réseaux sociaux, les webinaires et toutes formes d’actions diffusées en ligne, contribuent à donner l’autorité à l’auteur. Les signaux positifs renvoyés par les plateformes sociales permettent à Google de déterminer les critères EEAT. Plus un auteur est fiable dans les informations qu’il diffuse en ligne, plus les utilisateurs interagiront avec celles-ci sur les réseaux sociaux.

EEAT Google sur PC portable

Ces informations doivent être néanmoins recoupées avec des sources qui sont vérifiées pour ne pas induire en erreur l’utilisateur. Certains sujets sensibles dans les domaines de la santé, de la finance, etc. sont notamment les plus visés par les critères EEAT, ce qui n’exclu en rien les autres domaines. Il est ainsi indispensable de les inclure dans le cadre de son SEO, afin d’obtenir un meilleur référencement de ses articles dans les résultats de recherche.

 

Pourquoi les critères EEAT sont indispensables en 2025 ?

Pour obtenir un positionnement durable de ses contenus sur Google, vos articles doivent ainsi prouver ces 4 piliers : Expérience, Expertise, Autorité et Fiabilité. Google explique désormais assez clairement comment il évalue les contenus créés pour les utilisateurs. C’est ce qu’on appelle le contenu people-first, ce qui va donc à contresens du contenu pensé uniquement pour le référencement / Google.

Google souhaite contrer le contenu qui cherche à potentiellement manipuler les classements dans un unique but SEO, sans considérer l’utilisateur. La documentation officielle a récemment été mise à jour le 4 août 2025, avec une approche simple : « qui a créé le contenu, comment il a été créé, et surtout pourquoi »

Avant d’entrer dans cette méthode, il faut considérer ces 2 points majeurs qui sont souvent mal compris :

1. L’EEAT n’est pas l’unique facteur de classement

L’EEAT n’est pas unique, car Google s’appuie sur un ensemble de signaux pour évaluer les contenus qui sont alignés avec l’EEAT. Ces 4 piliers permettent ainsi de mieux comprendre ce que les algorithmes vont privilégier et/ou récompenser.

La fiabilité demeure l’axe prioritaire et comme soulevé précédemment, les exigences sont plus strictes avec les contenus qui traitent de sujets sensibles dits « YMYL : Your Money Your Life » qui sont liés à la santé, les finances, la sécurité, etc.

2. Les règles Google qui sont à considérer comme levier d’amplification

Au-delà de la pertinence, Google recommande d’optimiser les Core Web Vitals, de sécuriser son site via le protocole HTTPS, d’améliorer l’ergonomie mobile et de ne pas surcharger ses pages de publicité.

Le respect de ces règles permettent d’offrir une meilleure expérience utilisateur et des pages consultées.
Si ces premiers éléments vous permettent de mieux comprendre les critères EEAT, il reste à voir comment les appliquer à sa rédaction web avec des exemples concrets, des checklists et des éléments techniques comme les données structurées, une bio auteur optimisée, des preuves avec des sources fiables, etc.

 

Comment appliquer les critères E.E.A.T. à la rédaction web en 2025 ?

A présent il est indispensable de savoir concrètement comment appliquer les critères EEAT à sa rédaction web et le cas échéant, de les développer au fil du temps pour atteindre un degré de fiabilité suffisamment élevé et une autorité reconnue dans son domaine de prédilection.

Le schéma QCP : Qui, Comment et Pourquoi 

Google conseille d’auditer chacune de ses pages articles à travers trois questions (commencez par les plus importantes si vous en avez des centaines) :

  • QUI : Il s’agit de l’identité du créateur. Apposer une signature quand c’est pertinent avec la bio accessible qui doit être suffisamment claire, pour savoir à qui on a affaire (exit les bios humoristiques ou qui restent floues quant à déterminer qui est l’auteur. Insérez un historique classé par thématique si possible.
  • COMMENT : C’est le schéma de votre méthodologie, qui doit inclure notamment des tests, des sources et des preuves qui démontrent vos informations, ainsi que le rôle éventuel de l’IA ou de l’automatisation.
  • POURQUOI : Pourquoi ce contenu, où il est majoritairement question d’aider les internautes et non plus de produire du contenu en masse pour capter du trafic ou de contrer les critères de Google quelqu’ils soient.

Ce schéma aide à structurer ce que les algorithmes cherchent à récompenser et ça permet de s’auto-évaluer.

L’EEAT n’est pas un mythe !

Google forme ses évaluateurs de qualité, qui sont de vraies personnes (les quality raters) à évaluer si un résultat affiche un EEAT élevé. Les notations n’agissent pas directement sur le classement du contenu, mais elles permettent de valider les algorithmes et les systèmes automatisés pour savoir s’ils vont dans la bonne direction.

 

Avant la rédaction : traduire l’EEAT en workflow éditorial 

Il s’agit de bien cadrer l’intention de recherche et d’établir la crédibilité de l’auteur en préparant les preuves qui seront insérées au sein de l’article.

Choisir une requête et une intention de recherche claires

Liez votre mot-clé principal à l’intention de recherche (informationnelle, commerciale, navigationnelle, etc.). Définissez ce que l’utilisateur veut vraiment accomplir et en quoi vous êtes légitime à répondre (expérience vécue, expertise métiers, données propriétaires). Priorisez des angles où vous avez une expérience directe : c’est un accélérateur d’EEAT.

Etablir les preuves avant définir le plan

Listez les éléments de preuve à intégrer à votre contenu : des données, captures, photos originales, résultats de tests, références publiques, cas clients, diplômes/certifications, citations d’experts, sources de base, etc. Pour les avis et les tests produits, Google attend des preuves (méthode employée, nombre de produits testés, résultats obtenus, ajouts de photos, etc.).

Créer une signature et une page auteur optimisée

Assignez l’article à un auteur identifiable et qualifié, préparez une page auteur avec une bio pertinente avec les domaines couverts et des liens vers vos profils sociaux ainsi que vos publications. Au niveau des données structurées des articles, renseignez les données utiles pour donner du crédit à l’auteur.

S’assurer des prérequis fondamentaux de Google

Vérifiez le bon suivi des règles et surtout que votre contenu est bien indexé et que les bots Google l’explorent bien. Respectez les préconisations des algorithmes majeurs de Google qui pourraient sans peine être résumé ainsi « créer du contenu naturel sans artifice, tout en respectant les critères EEAT ».

 

Pendant la rédaction : structurer le contenu pour l’EEAT

Voici comment aborder les 4 piliers de l’EEAT dans vos rédactions web :

1. Prouver l’expérience 

Intégrer des signaux de vécu : « ce que nous avons testé », « conditions de mesure », des photos ou vidéos originales, des journaux de bord, des captures d’écran d’outils. Dans le cadre d’un comparatif, expliquez aussi pour quelles raisons un produit convient mieux à tel ou tel usage, et ce que vos tests ont démontré. Ça permet aussi de valoriser les preuves par des contenus d’avis positifs.

2. Démontrer l’expertise 

Appuyez chacune des affirmations sensibles par des sources qui sont vérifiables comme des études, des normes, des documents délivrés par l’éditeur, etc. Soyez méthodologique en évitant de simplement survoler les informations utiles et indispensables.

Pour les sujets YMYL, évoqués plus haut, relevez le niveau d’exigence avec des références fondamentales et des tests effectués par des confrères ou autre. Mentionnez également des validations d’experts reconnus et qualifiés. Google nous informe que ces thématiques obtiennent plus de crédit quand le contenu démontre un fort EEAT.

3. Etablir l’autorité au-delà du contenu

Mentionnez des travaux antérieurs reconnus, des conférences données sur les sujets abordés, des études que vous avez initié ainsi que des prix ou témoignages d’experts. Pensez à relier vos articles à des ressources qui sont suffisamment approfondies sur votre site, comme des guides, des cas d’usage, etc. Cela conférera à vos contenus une cohérence thématique en vue d’acquérir une autorité éditoriale.

4. Maximiser la fiabilité qui est au cœur de l’EEAT

Soyez transparent : affichez la signature, la date de publication et les mises à jour, votre politique éditoriale, la procédure de correction, etc.

Optimisez la vérifiabilité : citez vos sources en bas de section avec des liens sortants de qualité, mais surtout pas de promesses sans sources vérifiées.

Google souligne que la fiabilité prime sur les autres composantes, ce qu’il ne faut surtout pas négliger.

5. Rédiger pour l’utilisateur (people-first) et pas pour les algorithmes

Essayez de répondre à l’utilisateur en étant plus pertinent que les tops résultats référencés : clarté, richesse, angles concrets, aides à la décision, etc. sont des points à considérer. Évitez tout signaux de contenu orientés uniquement pour les moteurs de recherche ; produire massivement des contenus, négliger la valeur ajoutée, le keyword stuffing, etc.

6. Soigner l’expérience utilisateur / navigation

Respectez l’ensemble des consignes de Google sur l’expérience utilisateur et les différents points propres aux Core Web Vitals ; lisibilité, mobile-first, vitesse de chargement des pages, publicité non intrusive, structure de contenu claire (usage des balises Hn, un sommaire, des blocs avec des liens « pour aller plus loin ») etc.

Google confirme que le respect de ces consignes privilégient les contenus offrant une bonne expérience pour l’utilisateur tout en offrant une ergonomie optimisée des pages du site.

 

Après la rédaction et publication : signaux de confiance et mises à jour

Après la publication du contenu, il faut toujours optimiser et assurer des mises à jour régulières, notamment des données péremptibles comme les chiffres, les études, etc.

La richesse sémantique et le maillage

Reliez l’article à vos piliers et clusters thématiques pour consolider l’autorité ; mettez à jour les contenus qui perdent en trafic du fait d’une perte de positions (ajoutez des preuves plutôt qu’initier des retouches visuelles et/ou cosmétiques).

La documentation Google recommande d’analyser les baisses et de corriger le fond. Evitez de dater vos contenus à une date récente, ça n’aura aucune incidence. Privilégiez plutôt d’informer le lecteur sur les mises à jour effectuées en repartageant les contenus sur vos canaux. Apportez une vraie valeur ajoutée avec des preuves, des chiffres issus d’études récentes, des sources fiables et/ou récentes, etc.

Les pages auteur et l’organisation

Créez une page auteur visible sur les articles (bas de page, sidebar ou autre) selon ce qu’offre le template de votre site ou ce que le webmaster peut mettre en place (biographie, expertise, publications). Si l’identité de l’auteur est cliquable, une page plus complète avec ses contenus classés par catégorie sera un réel plus pour les utilisateurs.

Les données structurées et adaptées au contenu

Chaque contenu d’un site peut être différent selon la nature du site, sa thématique, et ce qu’ils doit délivrer à l’utilisateur comme information ; article court ou long, fiche produit, revue de produit ou service, FAQ, lexique, etc.

A ce titre on définit des données structurées au préalable pour que le contenu soit indexé et catégorisé au mieux avec du contenu enrichi. Certains templates offrent ces fonctions au sein des pages articles, de même que des plugins SEO. Les données structurées aident Google à comprendre le contenu et elles permettent de l’afficher en tant que résultats enrichis, appelés également Rich Snippet.

Le recours à l’IA générative

Contrairement à certaines idées reçues, Google n’interdit pas le contenu généré par IA, tant que celui-ci est pertinent et qu’il aide réellement l’utilisateur, sans viser la manipulation des classements. Indiquez comment l’IA a été utilisée si cela s’avère pertinent. Evitez la production en masse sans valeur ajoutée, qui sera plus considérée comme du spam.

De nouvelles pages d’aide Google récentes sur l’IA (aout 2025) expliquent aussi l’impact des AI features sur la recherche. 

 

Schéma d’article EEAT-Ready et checklist EEAT des éléments à préparer

Voici 2 listes qui distinguent d’un côté le schéma à adopter pour la création des contenus EEAT et de l’autre les éléments à rassembler.

1. Le schéma d’un article EEAT-Ready

Structure de l’article avec l’utilisation des balises H2 et H3 :

H2 : L’intention de recherche et la promesse

  • A qui s’adresse l’article ? quel objectif concret aide-t-il à atteindre ?
  • Les résultat attendu (livrable, décision, métrique).

H2 : La méthodologie et les preuves

  • Comment vous avez procédé : protocole, sources, outils, preuves (photos/tests/données).
  • Les limites, le périmètre et les biais potentiels.

H2 : Le développement structuré 

  • H3 : Les étapes/action n°1 : procédure, exemples, checklist.
  • H3 : Les étapes/action n°2 : pièges, benchmarks.
  • H3 : Les études de cas : résultats, KPI, enseignements.

H2 : Les recommandations actionnables

  • Quick wins, priorités 80/20, dépendances, risques.

H2 : Les sources, le glossaire et les ressources

  • Les sources de base (documents officiels, normes, études académiques).
  • Les définitions à introduire pour expliciter les acronymes et autres termes utilisés.

2. La checklist EEAT des éléments à préparer

Voici en parallèle la liste des éléments à préparer pour vos articles :

H2 : L’identité et la crédibilité de l’auteur

  • Signature visible (nom complet) + page auteur détaillée (bio, expertise, publications, profils sociaux, etc).
  • Pages à propos / contact / mentions légales accessibles ; politique éditoriale et procédure de correctionsi nécessaire.

H2 : Les preuves et les sources

  • Méthodologie décrite (comment), preuves (photos, fichiers, résultats, etc.).
  • Les sources fondamentales et primaires citées, les liens sortants de qualité.
  • Pour les reviews : les tests, critères, avantages/inconvénients, et liens vers plusieurs revendeurs. 

H2 : La qualité rédactionnelle et l’expérience utilisateur

  • La structure du contenu ; les balises Hn, le sommaire, les éléments visuels avec légendes, etc.
  • La lisibilité, l’index mobile first, les Core Web Vitals, la sécurité (HTTPS), l’usage de publicité non intrusive : viser une bonne expérience utilisateur avec une page web optimisée. 

H2 : La conformité et transparence sur l’utilisation de l’IA

  • Si l’IA a été utilisée, expliquez comment et pour quelles raisons pertinentes. Gonfler artificiellement le volume de l’article est évidemment à proscrire.
  • Évitez la production de contenu en masse et sans aucune valeur

H2 : Les données structurées

  • Choisir les bonnes données structurées comme Article/BlogPosting (titre, auteur, dates), Review, etc.
  • Testez avec le Rich Results Test.

 

Exemple concret d’un contenu e-commerce (réutilisable)

Cet exemple concret vous permettra de visualiser un plan destiné ici à un usage spécifique en e-commerce. Vous pourrez adapter ce contenu à différents produits / services nécessitant une approche similaire.

Contenu e-commerce : test et comparatif d’aspirateurs balais électriques

  • Expérience : 15 modèles testés avec un protocole d’usage public ; surface aspirée, durée nécessaire, autonomie de la batterie, mesure des décibels, etc. le tout illustré par des photos originales.

  • Expertise : les critères discréditant ; l’autonomie utile, l’efficacité sur les bords, la tenue verticale, etc. Mettre les liens vers les fiches techniques.

  • Autorité : mettre en avant un lien vers votre guide d’achat complet. Il est ici question de renforcer l’autorité quand elle est établie, le cas échéant il faudra la travailler au fil des mois et années.

  • Fiabilité : produire un tableau des résultats avec des liens vers des revendeurs multiples, les qualités et les défauts par modèle, les avertissements sur la durabilité, l’autonomie, etc. Vous pourrez enrichir par des avis vérifiés, les données des produits mis en avant.

 

Les erreurs fréquentes qui dégradent l’expérience l’EEAT

  • Rédiger des articles « fourre-tout » sans apport original et en résumant des sources tierces.
  • Faire des mises à jour cosmétique comme changer la date mais sans enrichir le fond : Google indique que ça ne fonctionne pas. 
  • L’absence de créateur identifiable qui ne contribue pas à attribuer une expertise et de l’autorité à un auteur.
  • Les revues de produits / services sans comparatif ni apport de preuves (pas de protocole, pas d’images originales). 

Si les contenus ne suivent pas la logique EEAT, ils n’obtiendront pas de meilleur référencement et encore moins de se voir attribuer de l’autorité et un niveau d’expertise reconnue.

 

Mesurer l’impact EEAT et l’améliorer

  • signaux de découverte/engagement : CTR (rich results), temps de lecture, scroll, partages, liens éditoriaux naturels, mentions de l’auteur.

  • signaux techniques : erreurs d’exploration, CWV, indexation, carrousels enrichis (Review/Product/Article). Vérifiez l’éligibilité et les warnings via vos tests structured data. 

  • revues éditoriales périodiques : relire chaque contenu YMYL avec un expert, recaler les sources, mettre à jour les preuves.

  • journal de mises à jour : exposez dateModified (également en données structurées) pour la transparence. 

 

Conclusion : rien ne vaut une rédaction humanisée et structurée

Respecter l’EEAT n’est pas « jouer l’algorithme » : c’est documenter votre valeur et la rendre vérifiable. Si vous :

  • Clarifiez qui parle (auteur identifiable + bio + données structurées),
  • Rendez visible comment vous produisez vos analyses (méthode + preuves),
  • Affirmez pourquoi vous publiez (aider, pas manipuler),
  • Offrez une excellente expérience de page,

Vous serez alors pleinement aligné avec ce que les algorithmes de Google cherchent à récompenser, et plus encore sur les sujets sensibles YMYL. 

   

Laurent Bour

Fondateur du Journal du Community Manager et vrai Geek ! je suis passionné par l'univers social media et particulièrement par les nouveaux leviers marketing. J'arpente Internet et les médias sociaux depuis leurs débuts. J'ai assuré mes débuts en informatique sur un Oric Atmos, et j'ai été un vrai fan de l'Amiga. Expert ! Je ne le suis pas. Je continue d'apprendre.

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